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Olivier Auber
3 September 2015

https://www.facebook.com/olivier.auber.7/posts/799299003514123

Nous sommes langage, oui, mais rien ne nous fait plus peur que le chaudron imprévisible (quantique peut-être ?) de nos conversations qui font et défont les hiérarchies symboliques et sociales. C'est pourquoi nous les contenons sous des couvercles dérisoires faits d'habitudes, de préjugés, de clichés, de normes, de pouvoirs et de technologies. Ces couvercles, Réseaux Apprenants propose de les appeler #noloops. Ils se superposent aux boucles de rétroaction de nos conversations mais ne sont pas de l'autopoièse, c'est-à-dire que la boucle ne se ferme pas. Les noloops assèchent et vident nos interactions de leur sens. Elles sauvent le statu-quo mais nous laissent mornes et désemparés.

Au contraire, le Générateur Poïétique montre la véritable nature des boucles cybernétiques dans lesquelles nous sommes plongés. Certes, il existe un filtre technique (le réseau) pour que cette interaction se produise, mais celui-ci est transparent, ce qui invite à s'interroger sur ceux qui ne le sont pas et qui créent donc des noloops (dans Facebook par exemple). Pour ces deux raisons, le Générateur Poïétique dérange.

http://poietic-generator.net
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