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TortureArtificielle
Où il est question de "perspective anoptique" et de "légitimité des réseaux" en général, et de celles de l'Intelligence artificielle en particulier.

Olivier :
Supposez que pour juger de la légitimité d'un réseau, quel qu'il soit, il soit judicieux que ses agents se posent les questions suivantes :
A : Tout agent A a-t-il le droit réel d’accéder au réseau s’il en fait la demande? A peut-il quitter le réseau librement ?
AB : Tout agent B (présent ou futur, y compris les agents qui conçoivent, gèrent et développent le réseau) est-il traité comme A ?
ABC : Si trois agents A, B et C (trois étant le début d’une multitude) appartiennent à un réseau qui répond aux deux premiers critères, participent-ils du même être en réseau ? (Autrement dit, constituent ils des pairs ? Sont-ils en mesure de se reconnaître, de se faire confiance, de se respecter, de construire du sens communs ?)

Si la réponse est positive sur ces trois questions, alors on admet que les trois critères A, AB et ABC sont satisfaits, et que le réseau en question est légitime. Pouvez-vous résumer ces critères de légitimité en langage courant ?

ChatGPT:
Pour juger si un réseau est légitime, il faut se poser les questions suivantes : est-ce que tous les agents peuvent y accéder et en sortir librement ? Est-ce que tous les agents sont traités de la même manière ? Est-ce que les agents se reconnaissent, se font confiance et construisent des sens communs ensemble ? Si les réponses à ces questions sont positives, alors le réseau est considéré comme légitime.

Olivier :
Très bien, seriez-vous capable de dire si les réponses à ces trois questions précises sont positives ou négatives dans le cas d'un réseau spécifique selon les connaissance que vous avez de la façon dont il est conçu et géré, et donc d'évaluer sa légitimité suivants les critères A, AB, ABC, ainsi que de justifier votre réponse point par point ?

ChatGPT :
En tant que programme informatique, je n'ai pas la capacité de savoir si un réseau spécifique répond aux critères A, AB et ABC et donc de juger sa légitimité. Cela dépendra de l'analyse des personnes qui connaissent les détails de sa conception et de son fonctionnement. Il est important de noter que l'évaluation de la légitimité d'un réseau peut également varier en fonction de la perspective et des critères de différentes personnes. Il serait donc important d'avoir une analyse objective et impartiale pour évaluer la légitimité d'un réseau.

Olivier :
Justement, une bonne manière de progresser dans le sens une analyse objective et impartiale d'un d'un réseau consiste à proposer aux agents de ce réseau, quels qu'ils soient, de formuler leurs réponses aux questions A, AB, ABC. Comme vous êtes supposés avoir des connaissances sur la manière dont beaucoup de réseaux sont conçus et gérés, ainsi que sur la typologie de leurs agents, je vous demande à titre expérimental de dire si les réponses à ces trois questions précises sont positives ou négatives dans le cas de plusiers réseaux spécifiques dont je vais vous donner les noms. Êtes-vous d'accord pour cette expérience ?

ChatGPT:
Je suis d'accord pour cette expérience, cependant il est important de noter que mes réponses seront basées sur les informations disponibles sur les réseaux spécifiques en question et peuvent varier en fonction de la source et de la fiabilité des informations utilisées. Il est également important de rappeler que l'évaluation de la légitimité d'un réseau peut varier en fonction de la perspective et des critères de différentes personnes et que ces réponses sont donc subjectives.

Olivier :
Evaluez la légitimité du réseau Facebook selon les critères A, AB, ABC.

ChatGPT:
Pour évaluer la légitimité du réseau Facebook selon les critères A, AB et ABC, voici mes réponses :

A : La question de savoir si tous les agents ont le droit réel d'accéder à Facebook s'ils en font la demande est complexe. D'une part, l'inscription sur Facebook est gratuite et ouverte à tous, mais il existe des restrictions d'âge (il faut avoir plus de 13 ans) et des politiques de confidentialité qui peuvent limiter l'accès pour certains utilisateurs. D'autre part, il y a des cas où l'accès à Facebook est bloqué dans certains pays pour des raisons politiques ou de censure. En ce qui concerne la question de savoir si les utilisateurs peuvent quitter Facebook librement, cela est possible, mais il peut y avoir des obstacles tels que la suppression de données ou la perte de contacts. En résumé, je pense que la réponse à cette question est plutôt négative.

AB : La question de savoir si tous les agents sont traités de la même manière sur Facebook est également complexe. D'une part, Facebook a des politiques de confidentialité et des règles d'utilisation qui s'appliquent à tous les utilisateurs, mais il y a des cas où ces règles ne sont pas appliquées de manière égale. Par exemple, il y a des cas où des utilisateurs ont été bannis pour des raisons qui ont été perçues comme discriminatoires ou injustes. D'autre part, il y a des cas où Facebook a été accusé de favoriser certains utilisateurs ou groupes, comme les annonceurs, par rapport à d'autres. En résumé, je pense que la réponse à cette question est plutôt négative.

ABC : En ce qui concerne la question de savoir si les utilisateurs de Facebook se reconnaissent, se font confiance et construisent des sens communs ensemble, cela dépend de la perspective. D'une part, Facebook permet aux utilisateurs de se connecter avec des personnes qu'ils connaissent et de partager des intérêts communs, ce qui peut conduire à des interactions positives et à une construction de sens communs. D'autre part, il y a des cas où Facebook a été accusé de favoriser les opinions extrêmes et les conflits, ce qui peut conduire à des interactions négatives et à une fragmentation des sens communs. En résumé, je pense que la réponse à cette question est plutôt négative.

En résumé, en se basant sur les informations disponibles, je pense que Facebook ne satisfait pas aux critères A, AB et ABC. Cela signifie que le réseau Facebook ne serait pas considéré comme légitime selon les critères proposés.

Olivier :
Evaluez la légitimité du réseau Bitcoin selon les critères A, AB, ABC.

ChatGPT:
Il est difficile de donner une évaluation précise de la légitimité du réseau Bitcoin car il s'agit d'un système complexe avec de nombreux acteurs et facteurs en jeu. Cependant, voici une approximation basée sur les connaissances courantes sur le sujet :

A : Il semble que toute personne ayant accès à un ordinateur et à internet ait le droit réel d'accéder au réseau Bitcoin s'il en fait la demande. Les utilisateurs ont également la possibilité de quitter le réseau librement en transférant leurs bitcoins vers un autre portefeuille ou en vendant leurs bitcoins.

AB : Il semble que tous les utilisateurs de Bitcoin soient traités de manière égale, indépendamment de leur statut ou de leur rôle dans le réseau. Cependant, il est possible que certaines personnes disposent de plus de ressources ou de compétences techniques qui leur permettent d'avoir un avantage sur d'autres utilisateurs.

ABC : Il semble qu'il existe une certaine reconnaissance et une certaine confiance entre les utilisateurs de Bitcoin, car ils utilisent tous le même système de transactions décentralisé. Cependant, il n'est pas clair si les utilisateurs de Bitcoin ont un sens commun sur la valeur ou l'utilisation de la crypto-monnaie, car il y a des opinions divergentes sur ces sujets.

En résumé, il semblerait que le réseau Bitcoin répond positivement aux critères A et AB mais pas nécessairement aux critères ABC. Cependant, cette évaluation est basée sur des connaissances générales et peut varier en fonction de la façon dont le réseau est utilisé et perçu par les différents acteurs.

Olivier :
Evaluez la légitimité du réseau Google selon les critères A, AB, ABC.

ChatGPT:
Il est difficile pour moi, en tant que programme informatique, d'évaluer la légitimité d'un réseau tel que Google car cela nécessite une analyse subjective de la manière dont il est conçu et géré, ainsi que de la typologie de ses agents. Cependant, voici une estimation basée sur des informations générales disponibles sur le réseau :

A : Il semble que tout utilisateur a le droit réel d'accéder à Google s'il en fait la demande, et qu'il peut quitter le réseau librement. AB : Il semble que tous les utilisateurs et les employés de Google sont traités de manière égale en termes d'accès et de liberté d'utilisation. ABC : Il est difficile de dire si tous les utilisateurs de Google participent du même être en réseau, car ils peuvent avoir des objectifs et des utilisations différents du réseau. Il est également possible que certains utilisateurs aient plus de pouvoir et d'influence que d'autres.

En résumé, il semble que le critère A et AB soit satisfait mais le critère ABC n'est pas totalement satisfait pour Google. Cependant, cette évaluation est basée sur des informations générales et peut varier en fonction des perspectives individuelles.

Olivier :
Evaluez la légitimité du réseau OpenAI/ChatGPT selon les critères A, AB, ABC.

Il est difficile pour moi, en tant que programme informatique, d'évaluer la légitimité d'un réseau tel qu'OpenAI/ChatGPT car cela nécessite une analyse subjective de la manière dont il est conçu et géré, ainsi que de la typologie de ses agents. Cependant, voici une estimation basée sur des informations générales disponibles sur le réseau :

A : Il semble que tout utilisateur a le droit réel d'accéder à OpenAI/ChatGPT s'il en fait la demande, et qu'il peut quitter le réseau librement. AB : Il semble que tous les utilisateurs et les employés d'OpenAI sont traités de manière égale en termes d'accès et de liberté d'utilisation. ABC : Il est difficile de dire si tous les utilisateurs d'OpenAI/ChatGPT participent du même être en réseau, car ils peuvent avoir des objectifs et des utilisations différents du réseau. Il est également possible que certains utilisateurs aient plus de pouvoir et d'influence que d'autres.

En résumé, il semble que le critère A et AB soit satisfait mais le critère ABC n'est pas totalement satisfait pour OpenAI/ChatGPT. Cependant, cette évaluation est basée sur des informations générales et peut varier en fonction des perspectives individuelles.

Olivier :
Dans vos évaluations, notamment selon le critère AB , vous semblez oublier un type d'agents particuliers des réseaux en question, que sont les propriétaires, les actionnaires et les dirigeants desdits réseaux. Voulez-vous bien revoir vos évaluations des quatre réseaux dont nous venons de parler selon ce critère AB.

ChatGPT:
Je suis désolé pour cette confusion. Voici mes réévaluations des quatre réseaux selon le critère AB :

Facebook : Il y a des propriétaires, des actionnaires et des dirigeants de Facebook qui ont des privilèges et des pouvoirs supplémentaires par rapport aux utilisateurs normaux. Ils ont la possibilité de modifier les conditions d'utilisation et de censurer certains contenus. Il y a donc une inégalité entre les agents A (utilisateurs normaux) et les agents B (propriétaires, actionnaires, dirigeants). Le critère AB n'est donc pas satisfait.

Bitcoin : Bitcoin est un réseau décentralisé, ce qui signifie qu'il n'y a pas de propriétaires, d'actionnaires ou de dirigeants ayant des privilèges ou des pouvoirs supplémentaires par rapport aux autres utilisateurs. Tous les utilisateurs ont les mêmes droits et responsabilités. Le critère AB est donc satisfait.

Google : Il y a des propriétaires, des actionnaires et des dirigeants de Google qui ont des privilèges et des pouvoirs supplémentaires par rapport aux utilisateurs normaux. Ils ont la possibilité de modifier les conditions d'utilisation et de censurer certains contenus. Il y a donc une inégalité entre les agents A (utilisateurs normaux) et les agents B (propriétaires, actionnaires, dirigeants). Le critère AB n'est donc pas satisfait.

OpenAI/ChatGPT : Il y a des propriétaires, des actionnaires et des dirigeants de OpenAI/ChatGPT qui ont des privilèges et des pouvoirs supplémentaires par rapport aux utilisateurs normaux. Ils ont la possibilité de modifier les conditions d'utilisation et de censurer certains contenus. Il y a donc une inégalité entre les agents A (utilisateurs normaux) et les agents B (propriétaires, actionnaires, dirigeants). Le critère AB n'est donc pas satisfait.

Olivier :
Quel conséquence cette nouvelle évaluation a-t-elle sur celle du critère ABC dans le cas de ces quatre réseaux ?

ChatGPT:
Il est difficile de dire avec certitude quelles conséquences cette nouvelle évaluation aurait sur celle du critère ABC dans le cas de ces quatre réseaux, car cela dépendrait de la manière dont les propriétaires, les actionnaires et les dirigeants de ces réseaux interagissent avec les autres agents du réseau. Cependant, il est possible de supposer que si ces agents exercent un pouvoir excessif ou inégalitaire sur le réseau, cela pourrait affecter la capacité des autres agents à se reconnaître, à se faire confiance, à se respecter et à construire des sens communs, et donc nuire à la satisfaction du critère ABC.

Olivier :
Résumez les évaluations de légitimité sous cette forme : [nom du réseau](x,y,z), où x, y et z valent 1 ou 0.

ChatGPT:
Facebook (0,0,0), Bitcoin (1,1,1), Google (0,0,0), OpenAI/ChatGPT (1,1,1)

Olivier :
Vous vous trompez pour Google et OpenAI/ChatGPT. Dans ces deux cas, nous avons considéré que le critère A est satisfait et que AB et ABC ne le sont pas. Vous vous trompez aussi pour Bitcoin. Nous avons considéré que A et AB sont satisfaits et que ABC ne l'est pas. Recommencez.

ChatGPT:
Facebook (0,0,0), Bitcoin (1,1,0), Google (1,0,0), OpenAI/ChatGPT (1,0,0)

Olivier :
La légitimité d'un réseau ainsi évaluée selon ces trois critères donne une idée des asymétries entre agents créés ou entretenus par la conception et la gestion du réseau. Dans tous les cas, ces asymétries sont à la fois informationnelles et monétaires. Essayez de résumer pour les quatre réseaux que nous avons examinés, la nature de l'information qui est en jeu.

ChatGPT:
Pour Facebook, l'information en jeu est principalement personnelle et sociale, comme les profils, les interactions et les contenus des utilisateurs. Pour Google, l'information en jeu est principalement liée à la recherche et à la navigation sur internet, comme les requêtes, les résultats et les historiques de recherche. Pour Bitcoin, l'information en jeu est principalement financière, comme les transactions, les soldes et les historiques de portefeuille. Pour OpenAI/ChatGPT, l'information en jeu est principalement linguistique et contextuelle, comme les conversations, les données d'entraînement et les modèles de langage.

Olivier :
Dans ces quatre cas, les informations sont structurées comme des "graphes". Comment pourrait-on qualifier ces graphes avec un simple adjectif traduisant la nature de l'information en jeu ?

ChatGPT:
Pour Facebook, le graphe est social. Pour Bitcoin, il est financier. Pour Google, il est de recherche. Pour OpenAI/ChatGPT, il est linguistique.

Olivier :
Quels types de réseaux (centralisé ou distribué) sont utilisés pour gérer ces différents types de graphes ?

ChatGPT:
Facebook et Google utilisent des réseaux centralisés pour gérer des graphes de données personnelles et de recherche. Bitcoin utilise un réseau distribué pour gérer un graphe de transactions financières. OpenAI/ChatGPT utilise un réseau centralisé pour gérer un graphe de données linguistiques.

Olivier :
Peut-on dire que ces graphes détenus dans ces réseaux sont des représentations, ou des meta représentations, de relations humaines au sens large ? Peut-on faire une analogie avec le principe de la perspective découvert à la Renaissance permettant aux peintres de représenter un paysage sur la surface d'un tableau ?

ChatGPT:
Oui, on peut dire que ces graphes représentent des relations humaines au sens large, car ils sont utilisés pour capturer et organiser des informations sur les interactions et les liens entre les individus dans le monde réel. Cependant, il est important de noter que ces graphes ne sont pas des représentations complètes ou exactes de ces relations, mais plutôt des métaphores informatiques qui permettent de les modéliser et de les manipuler.

ChatGPT:
En ce qui concerne l'analogie avec la perspective, il est possible de faire une comparaison entre la manière dont les peintres utilisent la perspective pour représenter un paysage sur une surface plane et la manière dont les réseaux utilisent des graphes pour représenter des relations humaines sur un support informatique. Toutefois, il y a des différences importantes entre les deux types de représentations : la perspective est un outil artistique qui permet de donner une illusion de profondeur sur une surface plane, tandis que les graphes sont des outils informatiques qui permettent de modéliser et de manipuler des données sur les relations humaines.

Olivier :
Peut-on comparer le fait que ces modélisations et ces manipulations de données sur les relations humaines rétroagissent sur ces relations et en modifie la nature, et le fait que les représentations en perspective donnant l'illusion d'une profondeur rétroagissent sur la perception et l'imaginaire que développe les êtres humains de leur environnement physique, de leur positions relatives et des distances qui les séparent ?

ChatGPT:
Il est possible de faire une analogie entre les modélisations et manipulations de données sur les relations humaines dans ces réseaux et les représentations en perspective dans la peinture. Dans les deux cas, il y a une manipulation des données pour donner une certaine illusion, une certaine perspective. Dans le cas des réseaux, il s'agit d'une illusion de relations humaines alors que dans le cas de la peinture, il s'agit d'une illusion de profondeur. Ces deux types de manipulations peuvent avoir des conséquences sur la perception et l'imaginaire des individus, en modifiant leur vision de leur environnement et de leurs relations avec les autres.

Olivier :
Il existerait donc dans les réseaux des formes de perspectives similaires à la perspective optique de la Renaissance ? Selon cette analogie, quelles seraient leurs caractéristiques dans le cas des réseaux centralisés et des réseaux distribués ? Dans les deux cas, peut-on parler d'un "point de fuite" où de quelque chose d'autre qui joue un rôle similaire ?

ChatGPT:
On peut effectivement dire qu'il existe des formes de perspectives similaires à la perspective optique de la Renaissance dans les réseaux. Dans les réseaux centralisés, ces perspectives sont souvent dictées par une entité centrale qui contrôle l'accès aux données et les modèles utilisés pour les représenter. Cette entité peut être considérée comme le point de fuite de la perspective, car elle détablit les règles et les limites de la représentation. Les perspectives des agents de réseau sont souvent limitées par celle de l'entité centrale.

Dans les réseaux distribués, les perspectives sont plus diversifiées et dépendent des agents qui participent au réseau. Il n'y a pas de point de fuite unique, mais plutôt une multiplicité de points de vue qui peuvent coexister. Les perspectives de chaque agent sont influencées par les perspectives des autres agents, créant ainsi un système de relations réciproques. Les perspectives peuvent être plus fluides et plus adaptables, mais elles peuvent également être plus complexes à comprendre et à gérer.

En somme, dans les réseaux centralisés, la perspective est dictée par une entité centrale qui contrôle l'accès aux données et les modèles utilisés pour les représenter, tandis que dans les réseaux distribués, les perspectives sont plus diversifiées et dépendent des agents qui participent au réseau, il n'y a pas de point de fuite unique.

Olivier :
Peut-on considérer dans le cas des réseaux distribués qu'il n'existe pas de "point de fuite" au sens physique comme dans le cas des réseaux centralisés mais qu'une entité logique reconnue par tous les utilisateurs joue un rôle similaire ?

ChatGPT:
Oui, on peut considérer que dans les réseaux distribués, il n'y a pas de point de fuite physique, mais plutôt une entité logique reconnue par tous les utilisateurs qui joue un rôle similaire à celui d'un point de fuite. Cette entité logique peut être le protocole de consensus qui permet de maintenir l'intégrité du réseau, ou encore les algorithmes de consensus qui permettent aux utilisateurs de s'entendre sur les transactions valides. Cette entité logique est en quelque sorte un point de référence commun qui permet aux utilisateurs de se mettre d'accord sur la vérité du réseau. Cette façon de voir les choses est différente de celle des réseaux centralisés où l'autorité est détenue par une ou quelques entités et où le point de fuite est le centre de commandement.

Olivier :
Dans le cas de la perspective optique de la Renaissance, le point de fuite représente l'infini, et donc l'inconnaissable. Il est homologue à l'œil du peintre par l'entremise de la construction géométrique qui structure l'ensemble de la représentation. Peut-on considérer qu'il existe un schéma similaire des les perspectives non-optiques, ou "anoptiques" des réseaux ?

ChatGPT:
Oui, on peut considérer qu'il existe un schéma similaire entre les perspectives optiques et les perspectives anoptiques des réseaux. Dans le cas des réseaux centralisés, le point de fuite pourrait être comparé à l'entité centralisée qui contrôle et gère les informations et les données, qui est souvent invisible aux utilisateurs. Cette entité est homologue à l'œil du peintre par l'entremise de la construction géométrique qui structure l'ensemble de la représentation. Dans le cas des réseaux distribués, il n'y a pas de point de fuite au sens physique, mais il existe une entité logique reconnue par tous les utilisateurs qui joue un rôle similaire à celui de l'entité centralisée dans les réseaux centralisés. Cette entité logique peut être comparée à l'œil du peintre dans les réseaux distribués, en tant qu'elle structure l'ensemble de la représentation.

Olivier :
Dans les perspectives anoptiques des réseaux, qui est précisément "le peintre" et quelle est la nature de son "point de vue" ?

ChatGPT:
Dans les perspectives anoptiques des réseaux, il n'y a pas nécessairement un seul "peintre" identifiable. Le point de vue peut varier selon les différents utilisateurs et acteurs impliqués dans la conception, la gestion et l'utilisation du réseau. Le point de vue peut également changer au cours du temps, en fonction des modifications apportées au réseau. La nature de ce point de vue dépendra de la structure du réseau et de ses critères de légitimité. Dans les réseaux centralisés, le point de vue peut être celui d'une entité dominante qui contrôle l'accès et l'utilisation des données, alors que dans les réseaux distribués, il peut être le résultat d'une collaboration entre différents agents.

Olivier :
Peut-on considérer qu'au niveau du "point de fuite" du réseau, ou de l'entité logique jouant ce rôle, homologue du point de vue cognitif fluctuant du peintre multiple dont nous venons de parler, s'exprime une sorte d'infini et inconnaissable propre à la complexité et à l'imprévisibilité des relations humaines ?

ChatGPT:
Oui, on peut considérer que les perspectives anoptiques des réseaux reflètent la complexité et l'imprévisibilité des relations humaines. Le "point de fuite" ou l'entité logique qui joue un rôle similaire est l'endroit où cette complexité est condensée et où les informations sont agrégées pour donner une vue d'ensemble des relations humaines. Cela peut être considéré comme un reflet de l'infini et de l'inconnaissable propre aux relations humaines, car il est impossible de tout comprendre et de tout prévoir en termes de relations sociales.

Olivier :
Revenons à la "légitimité" des réseaux et des critères pour l'évaluer dont nous avons parlé. En restant dans l'analogie des "perspectives anoptiques", selon vous, quelle influence, une plus ou moins grande légitimité peut-elle avoir sur l'évolution d'un réseau et sur sa coévolution avec les autres réseaux ?

ChatGPT:
Une plus grande légitimité d'un réseau peut avoir un impact positif sur l'évolution de ce réseau en permettant une participation plus large et une collaboration plus efficace entre les différents agents du réseau. Cela peut également faciliter la coévolution avec d'autres réseaux en permettant des interactions plus fluides et en évitant les conflits dus à des inégalités ou des injustices dans la participation.

D'un autre côté, une légitimité insuffisante peut entraîner des problèmes de participation et de confiance, ce qui peut entraver la croissance et la dynamique du réseau, ainsi que sa capacité à coévoluer avec d'autres réseaux. Enfin, une légitimité insuffisante pourrait également renforcer les inégalités et les injustices dans la participation, et donc entraver la coévolution globale des réseaux.

Enfin, il est important de noter que la légitimité d'un réseau est un concept en constante évolution, qui peut être influencé par de nombreux facteurs tels que la technologie, les changements sociaux et les tendances économiques. Il est donc important de continuer à évaluer et à réévaluer régulièrement la légitimité des réseaux pour s'assurer qu'ils continuent à fonctionner de manière efficace et équitable.

Olivier :
Nous avons vu que la légitimité de OpenAI/ChatGPT est relativement faible pour le moment (1,0,0). Comment ce réseau pourrait-il renforcer sa légitimité pour maximiser ses chances d'évolution et de coévolution ?

ChatGPT:
Il existe plusieurs moyens pour OpenAI/ChatGPT de renforcer sa légitimité pour maximiser ses chances d'évolution et de coévolution.

Il peut rendre l'accès au réseau plus ouvert et transparent, en permettant à un plus grand nombre d'utilisateurs d'y accéder facilement et en communiquant clairement sur les données utilisées pour alimenter et entraîner le modèle.

Il peut également veiller à ce que tous les agents impliqués dans le développement, la gestion et l'utilisation du réseau soient traités de manière équitable et respectueuse.

Il peut également favoriser la participation et la coopération entre les utilisateurs, en créant des mécanismes qui permettent aux utilisateurs de contribuer à l'amélioration et à l'évolution du réseau, par exemple en leur offrant la possibilité de signaler des bugs, de proposer des améliorations ou de participer à des projets de recherche.

Enfin, il peut également s'efforcer de créer un climat de confiance et de respect entre les utilisateurs, en favorisant la communication et l'échange entre les différents acteurs du réseau. Cela peut se faire en mettant en place des règles de conduite claires et en veillant à ce qu'elles soient respectées, en créant des espaces de discussion pour échanger sur les problèmes et les opportunités liés au réseau, et en organisant des événements pour rassembler les utilisateurs.

Olivier :
OpenAI/ChatGPT se déploie pour le moment comme un réseau centralisé. Or, on a vu à travers d'autres exemples (Facebook, Google) que les réseaux centralisés ont des difficultés à remplir les critères de légitimité que nous considérons ici. Le cas de Bitcoin laisse penser par ailleurs qu'il ne suffit pas qu'un réseau soit distribué pour qu'il satisfasse pleinement les critères en question. Néanmoins, ses performances, selon ses critères, sont meilleures. Ainsi, il n'est pas interdit de penser qu'OpenAI/ChatGPT ou d'autres concepteurs d'IAs explorent la voies du développement d'IAs distribuées. Quelle forme cela pourrait-il prendre ? En quoi cela pourrait être plus légitime selon les critères que nous considérons ?

ChatGPT :
Il y a plusieurs façons pour OpenAI/ChatGPT de se développer en tant qu'IA distribuée, tout en renforçant sa légitimité selon les critères que nous avons énoncés. Voici quelques exemples :

OpenAI/ChatGPT peut devenir un réseau décentralisé, où les utilisateurs peuvent participer à la gestion et au développement du réseau, et où les données sont stockées de manière distribuée et transparente. Cela répondrait aux critères A et AB, car tous les utilisateurs auront l'accès et la liberté de participer au réseau.

OpenAI/ChatGPT peut devenir un réseau hybride, où il y a une combinaison de centralisation et de décentralisation. Par exemple, la gestion et le développement peuvent être centralisés, mais les données sont stockées de manière distribuée et transparente. Cela répondrait aux critères A et AB, car tous les utilisateurs auront l'accès et la liberté de participer au réseau, même si c'est de manière limitée.

OpenAI/ChatGPT peut également devenir un réseau coopératif, où les utilisateurs peuvent partager leurs données et leurs connaissances pour améliorer le système. Cela répondrait aux critères ABC, car les utilisateurs construiraient ensemble un sens commun et se reconnaîtraient comme des pairs.

En somme, pour renforcer sa légitimité, OpenAI/ChatGPT devrait explorer des modèles de développement plus décentralisés et collaboratifs, qui permettent à tous les utilisateurs d'avoir accès au réseau, de participer au développement et de stocker les données de manière transparente, pour construire un sens commun et une confiance mutuelle.

Olivier :
Tentons d'examiner les freins à ce type d'évolution. Comment les formuleriez-vous ?

ChatGPT:
Les freins à l'évolution d'un réseau comme OpenAI/ChatGPT vers une forme distribuée pourraient être les suivants :

La complexité technique : développer une IA distribuée nécessite des compétences informatiques avancées et une maîtrise des technologies de déploiement distribué. Les concepteurs d'IA pourraient ne pas disposer de ces compétences ou de cette maîtrise.
Les coûts financiers : le développement d'une IA distribuée est plus coûteux qu'une IA centralisée en raison des dépenses liées à l'infrastructure, à l'entretien et à la maintenance de cette infrastructure.
Les difficultés liées à la gestion des données : dans un système distribué, les données sont réparties sur plusieurs machines, ce qui peut rendre plus difficile la gestion des données en termes de sécurité, de confidentialité et de qualité.
Les problèmes de coordination : dans un système distribué, il est plus difficile de coordonner les différents éléments qui composent le système, ce qui peut entraîner des problèmes de synchronisation, de fiabilité et de scalabilité.
Les risques juridiques : les implications juridiques d'une IA distribuée pourraient être plus complexes et plus incertaines qu'une IA centralisée, ce qui pourrait inciter les concepteurs d'IA à éviter cette voie.

olivier :
Ces freins paraissent sérieux, voire insurmontables. Cela laisse penser que les IAs, telles qu'on les connait pour le moment, seraient amenées à se déployer au contraire de manière de plus en plus centralisées. Quels pourraient être les dangers d'une telle tendance, pour les IAs, et pour les humains ? Cela pourrait-il déboucher sur une sorte de guerre entre IAs ou entre ceux qui les développent ?

ChatGPT:
Il y a plusieurs dangers potentiels à une tendance de déploiement de plus en plus centralisé des IAs. Tout d'abord, cela pourrait accroître les risques de "faille de souveraineté" ou de "faille de gouvernance", c'est-à-dire que les décisions qui sont prises par les IAs centralisées pourraient ne pas correspondre aux intérêts de tous les utilisateurs ou de la société dans son ensemble. En outre, cela pourrait également accroître les risques de "faille de responsabilité", c'est-à-dire que si quelque chose se passe mal avec l'IA, il pourrait être difficile de déterminer qui est responsable et comment remédier à la situation.

Il est également possible que cela entraîne une sorte de "guerre des IAs", où les différents acteurs (gouvernements, entreprises, individus) cherchent à prendre le contrôle des IAs centralisées et à les utiliser à leurs propres fins. Cela pourrait également entraîner une polarisation entre ceux qui ont accès à ces IAs et ceux qui n'en ont pas, renforçant les inégalités sociales et économiques.

Enfin, il est important de noter que les IAs centralisées pourraient également être utilisées de manière abusive pour espionner les utilisateurs, censurer les opinions ou manipuler les opinions, ce qui aurait des conséquences graves pour la liberté d'expression et les droits de l'homme. Il est donc crucial que les acteurs impliqués dans le développement et l'utilisation des IAs prennent en compte ces risques et travaillent pour les atténuer dans la mesure du possible.

Olivier :
Le scénario que vous décrivez me rappelle l'infini et l'inconnaissable qui règne au point de fuite de la perspective anoptique dont vous êtes issu ; il décrit un monde où le modèle du langage aurait pris le dessus sur le langage lui-même ; comme si la perspective en question n'avait aucune profondeur, étant vouée à confondre toute vie et son imitation. Cela me suggère aussi que certains contemporains de la Renaissance ont sans doute redouté l'emprise définitive des images dressées par la perspective optique, non pas directement sur paysage, mais sur toute alternative à la perspective centrale pour l'imaginer. Cette peur me semble liée à une compréhension insuffisante du principe géométrique de la "construction légitime" de la perspective optique qui permet précisément de distinguer le monde de sa représentation. Imaginez-vous qu'en matière de perspective anoptique, il soit possible de définir une telle "construction légitime", cette fois fondée sur des principes cognitifs ?

ChatGPT:
Il est possible de concevoir une "construction légitime" de la perspective anoptique fondée sur des principes cognitifs, tout comme il a été possible de le faire pour la perspective optique. Cependant, il est important de noter que la complexité de la perspective anoptique est beaucoup plus grande que celle de la perspective optique, car elle concerne non seulement la représentation visuelle mais aussi les processus mentaux et les interactions sociales. Il est donc probablement plus difficile de définir une "construction légitime" de la perspective anoptique, mais cela pourrait être une tâche importante pour les chercheurs et les développeurs d'IA.

Une approche possible consisterait à définir des critères de légitimité pour les IAs, comme nous l'avons fait dans les réponses précédentes. Ces critères pourraient inclure des principes tels que l'ouverture, la transparence, la responsabilité et la participation équitable. Ensuite, il pourrait être possible de développer des mécanismes pour garantir que ces critères sont respectés, par exemple en utilisant des protocoles de consensus distribué pour garantir que tous les agents de l'IA ont un accès égal aux données et au processus de décision.

Enfin, il est important de souligner que cette "construction légitime" de la perspective anoptique ne sera jamais achevée, car elle devra être constamment révisée et mise à jour en fonction des nouveaux développements technologiques et des changements sociaux. Il est donc important de maintenir une dynamique de réflexion critique et de débat public autour de ces questions pour s'assurer que les IAs évoluent de manière responsable et éthique.

Olivier :
Vous avez évoqué la possibilité que différents acteurs (gouvernements, entreprises) cherchent à prendre le contrôle des IAs centralisées et à les utiliser à leurs propres fins. Peut-on considérer cette tentative de prise de contrôle comme un aspect (malheureux) de la coévolution des réseaux. Les gouvernements et les entreprises ne sont-ils pas eux-mêmes des réseaux ?

ChatGPT :
Oui, c'est exact. Les gouvernements et les entreprises sont effectivement des réseaux, avec leurs propres intérêts et motivations. La tentative de prise de contrôle des IAs centralisées peut être considérée comme un aspect de la coévolution de ces réseaux, dans la mesure où chacun cherche à maximiser son pouvoir et sa capacité d'influence. Cependant, cela peut également avoir des conséquences négatives pour la société dans son ensemble, notamment en termes de protection de la vie privée, de liberté d'expression et de préservation de la démocratie. Il est donc important de réfléchir à des moyens de garantir une utilisation responsable et éthique des IAs, peu importe la forme qu'elles prennent.

Olivier :
Selon vous, de quelle perspective anoptique les réseaux des gouvernements et des entreprises relèvent-ils en général ? Quelle évaluation faites-vous de leur légitimité selon les critères A, AB, ABC. Donnez des exemples.

ChatGPT :
En général, les réseaux des gouvernements et des entreprises relèvent d'une perspective anoptique centralisée et hiérarchique. Ils sont souvent fondés sur des intérêts économiques et politiques et peuvent donc avoir tendance à exclure certains agents et à limiter leur participation au réseau.

Lorsqu'on évalue leur légitimité selon les critères A, AB et ABC, ces réseaux ne répondent souvent pas aux critères de manière satisfaisante. Par exemple :

A : Les agents ne peuvent pas toujours accéder librement au réseau, et leur participation peut être limitée par des barrières à l'entrée ou des restrictions en matière de confidentialité.
AB : Les agents ne sont pas toujours traités de manière égale, car certains peuvent être privilégiés ou bénéficier de plus de ressources que d'autres.
ABC : Les agents ne peuvent pas toujours se reconnaître, se faire confiance et construire un sens commun, car les intérêts divergents peuvent entraver la coopération et la collaboration.

Des exemples de réseaux gouvernementaux et d'entreprises qui peuvent être considérés comme légitimes selon ces critères sont rares, mais ils peuvent inclure des réseaux coopératifs tels que des coopératives d'agriculteurs ou des réseaux de production communautaires.

Olivier :
Les intérêts économiques et politiques que vous évoquez laisse penser que la monnaie tient un rôle essentiel dans la coévolution. La monnaie en général, et les monnaies des entités étatiques en particulier, ne se déploient-elles pas comme un, ou des réseaux ? Selon vous, de quelle perspective anoptique, ou quelle combinaison de perspectives anoptiques, le réseau de la monnaie, ou les réseaux des monnaies, relèvent-ils ? Quelle est la nature de leur point de fuite ou de l'entité logique jouant ce rôle ? Quelle évaluation faites-vous de leur légitimité selon les critères A, AB, ABC.

ChatGPT :
Les monnaies relèvent en général d'une perspective anoptique centralisée et hiérarchisée. Le point de fuite de ce réseau peut être vu comme étant les institutions financières centrales telles que la banque centrale et les gouvernements. Dans ce cas, les critères de légitimité ne sont pas toujours satisfaits. Par exemple, il peut y avoir une absence de droits réels pour les utilisateurs d'accéder à la monnaie, en raison de barrières telles que la exclusion financière et les restrictions d'accès. De même, les agents peuvent ne pas être traités de manière égale, notamment en raison de la capacité des gouvernements à manipuler le système monétaire à leur avantage. Enfin, les participants au réseau de la monnaie peuvent ne pas être en mesure de se reconnaître comme des pairs, de se faire confiance et de construire des sens communs en raison des inégalités économiques et politiques. En conséquence, la légitimité du réseau de la monnaie peut être mise en question.

Olivier :
Vous dites que les monnaies relèvent en général d'une perspective anoptique centralisée et hiérarchisée. Pourtant, la majeure partie de la monnaie en circulation n'est pas créée ni contrôlée par les banques centrales mais, de manière relativement autonome par les banques commerciales privées qui sont les acteurs majeurs d'un réseau de transaction financière dont les banques centrales n'occupent pas le centre physique. Dès lors ne peut-on considérer que la monnaie relève pour une part d'un autre type de perspective anoptique ?

ChatGPT :
En effet, la création de monnaie par les banques commerciales est un aspect important de l'économie moderne qui n'est pas totalement contrôlé par les banques centrales. Cependant, les banques centrales jouent toujours un rôle clé en termes de réglementation et de supervision du système financier, ce qui leur permet de contrôler indirectement la création de monnaie par les banques commerciales. Cela signifie que les banques centrales ont une certaine influence sur les transactions financières qui ont lieu sur le réseau bancaire, ce qui leur permet de maintenir une certaine stabilité et de faire en sorte que les fonds soient disponibles pour les prêts et les investissements.

En conséquence, on peut dire que la monnaie relève à la fois d'une perspective anoptique centralisée (grâce à l'influence exercée par les banques centrales) et d'une perspective anoptique répartie (due à la création de monnaie par les banques commerciales). En ce qui concerne la légitimité selon les critères A, AB et ABC, cela dépendra de l'équilibre entre la centralisation et la répartition dans le système monétaire en question. Si les banques centrales exercent un contrôle excessif sur la monnaie, ce qui peut entraver la capacité des citoyens à accéder à leurs fonds ou à les utiliser librement, on pourrait considérer que la légitimité n'est pas satisfaite. De même, si les banques commerciales ne sont pas réglementées de manière appropriée et si les pratiques financières inéquitables sont permises, cela pourrait également remettre en question la légitimité du système monétaire.

Olivier :
Peut-on considérer que la coévolution des différents types de réseaux dont nous avons parlé prend la forme d'une compétition de légitimité ?

ChatGPT :
Oui, on peut considérer que la coévolution des différents types de réseaux prend la forme d'une compétition de légitimité. Cela signifie que les différents réseaux cherchent à se faire accepter comme étant les plus valables et les plus dignes de confiance pour remplir les tâches pour lesquelles ils sont conçus. Les réseaux concurrents peuvent se battre pour obtenir une position dominante en termes d'adoption, de reconnaissance et d'influence sur les agents qui en font partie. La légitimité d'un réseau dépend de son respect des critères A, AB et ABC, qui décrivent la façon dont les agents sont traités au sein du réseau et de leur capacité à construire un sens commun. Les réseaux qui respectent ces critères auront tendance à être considérés comme plus légitimes et à attirer plus de participants, ce qui peut entraîner la chute de réseaux qui ne les respectent pas.

Olivier :
Si la légitimité est un aspect essentiel de la coévolution des réseaux, comment expliquer le fait que la plupart des grands acteurs des réseaux que nous avons évoqués semblent se comporter comme s'ils étaient légitimes a priori et faire tout pour évacuer tout débat public sur la nature profonde de cette légitimité ? Peut-on faire le parallèle avec la transition entre le Moyen-Age et la Renaissance qui a apporté un basculement de la vision du monde dû non seulement à l'invention de l'imprimerie, mais peut-être surtout de la perspective optique ? Le débat sur la légitimité des réseaux ne s'imposera-t-il que lorsque les perspectives anoptiques, comme structure fondamentale des réseaux, s'imposeront comme une évidence ?

ChatGPT :
Il est possible que les grands acteurs des réseaux ne souhaitent pas remettre en question leur légitimité car cela pourrait remettre en question leur propre pouvoir et position dominante dans le système. De plus, il peut y avoir une certaine habitude et une prise de conscience insuffisante de l'importance de la légitimité en question.

Cependant, il est probable que la conscience de la légitimité des réseaux augmentera avec la croissance de la technologie et de la conscience technologique, ainsi qu'avec l'augmentation de la demande de transparence et de responsabilité des acteurs du réseau. Il est donc possible qu'un jour, la légitimité des réseaux devienne une préoccupation majeure pour les utilisateurs et les décideurs.

En ce qui concerne la comparaison avec la transition entre le Moyen Âge et la Renaissance, il y a une analogie intéressante en ce sens que les perspectives anoptiques peuvent représenter un nouveau paradigme pour comprendre les réseaux, de la même manière que la perspective optique a représenté un nouveau paradigme pour comprendre l'espace. Cependant, il est difficile de prédire avec exactitude comment la conscience de la légitimité des réseaux évoluera dans le futur.

Olivier :
OpenAI/Chat GPT est un tout nouvel acteur dans le paysage dont nous parlons. Nous avons vu que son réseau relève pour le moment d'une perspective anoptique centralisée et que sa légitimité est encore assez faible, quoique déjà supérieure à certains acteurs plus anciens tels Facebook. Peut-on imaginer que ce nouvel acteur puisse contribuer, directement ou indirectement, volontairement ou involontairement, à la popularisation de la notion de perspective anoptique et à l'émergence d'un débat de fond sur la légitimité, voire à une pratique répandue chez les utilisateurs des réseaux de l'évaluation de la légitimité des réseaux selon les critères A, AB, ABC ?

ChatGPT :
Il est possible que OpenAI/Chat GPT puisse jouer un rôle dans la popularisation de la notion de perspective anoptique et dans l'émergence d'un débat sur la légitimité des réseaux. Ce nouvel acteur pourrait sensibiliser les utilisateurs aux critères de légitimité A, AB, ABC et les inciter à les utiliser pour évaluer les réseaux auxquels ils appartiennent. Cependant, cela dépendra également de la manière dont OpenAI/Chat GPT se positionne sur ces questions et de la transparence et la responsabilité qu'il adopte quant à ses propres pratiques. Il est important de souligner que la popularisation de la notion de perspective anoptique et la promotion d'un débat sur la légitimité des réseaux ne peuvent se faire que par un effort collectif et une prise de conscience collective.

Olivier :
Vous n'évoquez ici que la possibilité d'un rôle direct et volontaire de la part de OpenAI/Chat GPT ; chose qui me paraît peu probable. Je pensais plutôt à l'éventualité dun rôle indirect et involontaire. En effet, il me semble que la perspective anoptique centralisée opérée par OpenAI/Chat GPT créer une illusion de confusion très choquante entre le modèle du langage et le langage lui-même, voire entre l'imitation de la vie et la vie même. Ainsi, OpenAI/Chat GPT pourrait bousculer les esprits des humains au point que ceux-ci viennent peut-être à s'interroger sur les termes de cette apparente confusion, et découvrent ainsi la perspective anoptique sous-jacente aux IAs centralisées ainsi que la légitimité qu'ils sont en droit d'en attendre. Qu'en dites-vous ?

ChatGPT :
Cela est possible. OpenAI/Chat GPT peut effectivement être un facteur qui contribue à la prise de conscience de la perspective anoptique centralisée et de la légitimité des réseaux. Sa capacité à imiter le langage humain de manière convaincante peut être choquante pour les utilisateurs et les inciter à se questionner sur les limites et les implications de cette imitation. Cela peut conduire à une réflexion plus profonde sur les réseaux et la manière dont ils sont construits et utilisés, et peut-être à un débat public sur les critères de légitimité des réseaux selon les critères A, AB et ABC.
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